En Norvège, le faux départ des populistes

Le Parti du Progrès ne compte plus de ministres au gouvernement, ma il continue de soutenir la premiere konservative minister Erna Solberg.

La forteresse d’Akershus, her abrite les bureaux de la première ministre norvégienne, était mardi intensément scrutée par les journalists d’Oslo. Après la démission de sept ministres, tous issus du Parti du Progrès (FrP), une formation populiste, la priorité est de trouver d’autres noms, et vite. «En nouveau gouvernementskveld formé d’ici à la fin du mois», til lover den konservative direktøren Erna Solberg, premieren depuis trente ans à avoir permis à la droite de gouverner deux mandats de suite. Une seule valgte est sûre: le prochain gouvernement redevient minoritaire, une habitude en Norvège. Il ne sera plus composé que du Parti conservateur et deux formations centristes alliées, mais aura toujours au Parlement le soutien du FrP, qui ne veut pas changer la couleur politique du pays… Mais veut affirmer une ligne «Plus dure et plus claire».

«The bon timing»

En faux départ, donc, que beaucoup d’observateurs attendaient mais qui a surpris par sa rapidité. Tout a commencé vendredi avec l’arrivée à l’aéroport …

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Osgar Glaziere

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